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Dans la course à la « croissance » continue et la poursuite d’un « confort de l’immédiateté », l’Homme a jusqu’ici opté pour des circuits énergivores, une alimentation trop carnée, mettant toute la biodiversité, dont il fait partie, en péril.
Changer de regard s’impose pour une prise de conscience sur nos pratiques contemporaines, les limites planétaires, réfléchir et revoir nos systèmes en profondeur.
Il est temps de repenser nos interactions avec notre maison mère : la Terre.
L’urgence est dans le passage à l’acte concret.
Au cœur de notre mission : trouver des solutions pour enrayer la perte de la biodiversité.
La nature est un patrimoine, un « commun », au sein duquel l’enjeu est celui de la libre évolution de la vie, sa régénérescence et sa pérennité.
Pour l’avenir de la communauté de toutes les espèces vivantes, l’Homme doit retrouver un dialogue avec la nature : c’est le moment de l’intelligence collective.
Notre devoir moral est de recréer la « valeur » nature, maintenir le monde naturel plutôt que de l’exploiter, conserver les ressources mais aussi les liens au sein même de celui-ci.
Nous devons penser en termes de capacité à nourrir plutôt qu’en soutenabilité.
« Faire écosystème », fédérer, réconcilier, s’unir, et repenser ensemble notre agriculture afin de rétablir un système nourricier respectueux, basé sur la production de calories, protéines et nutriments végétaux, passant entre autres par la réduction de l’utilisation de l’énergie, des transports et des ressources.
Toutes ces problématiques sont liées, nos actions doivent donc être pensées en amont et de manière transversale afin de minimiser nos impacts.
Nos armes de construction massive : la pensée critique, l’ouverture d’esprit, l’optimisme, l’expérimentation et la créativité au sein d’un processus de réflexion continue.
Nous pensons qu’agir localement, à partir d’un lieu, d’un territoire, est l’échelle qui permettra une dynamique et l’implication des communautés qui l’entoure.
Nous sommes persuadés du lien entre les sujets locaux et les enjeux globaux. Chaque territoire possède une histoire, des besoins, des contraintes, des opportunités, à prendre en compte de manière singulière.
Il n’y pas de solution « toute faite », à l’instar du milieu naturel en constante évolution au fil du temps, notre stratégie passe en premier lieu par nos sens : celui de l’observation, de l’écoute avant de passer à l’action réfléchie et adaptée.
Sauvegarder et régénérer le vivant c’est s’inscrire dans la longue durée, anticiper notre rôle d’acteur afin de diminuer l’exposition aux aléas, réduire les vulnérabilités, augmenter nos capacités d’adaptation et de résilience, notre rapport au temps est donc crucial.
Il est essentiel pour nous de « faire » pour apprendre et « faire savoir » pour comprendre, c’est pourquoi nous déploierons différents canaux et modes de communication afin de partager nos expériences et celles que nous soutiendrons.
Devenir à la fois source et relai de projets « systémiques », c’est aussi tisser naturellement un réseau à l’œuvre dans l’intérêt du vivant, essaimer les pratiques et les différents modes de pensée permettant ainsi la collaboration et l’épanouissement des individus au service du bien commun.
En fonction des différentes expériences que nous mènerons ou accompagnerons, nous ferons appel à différents experts, s’inscrivant dans notre philosophie de recherche participative évolutive.
L’éducation aux enjeux de la biodiversité, des différentes espèces, du climat, des ressources et de l’alimentation permettra d’éclairer, sensibiliser et mobiliser nos interlocuteurs.
Ces symptômes d’une société malade, sont les conséquences de la mise sous pression des écosystèmes, sacrifiant le vivant, provoquant le dérèglement climatique que nous connaissons aujourd’hui, nous soumettant tous à des enjeux d’adaptation multiples.
Dans la course à la « croissance » continue et la poursuite d’un « confort de l’immédiateté », l’Homme a jusqu’ici opté pour des circuits énergivores, une alimentation trop carnée, mettant toute la biodiversité, dont il fait partie, en péril.
Changer de regard s’impose pour une prise de conscience sur nos pratiques contemporaines, les limites planétaires, réfléchir et revoir nos systèmes en profondeur.
Il est temps de repenser nos interactions avec notre maison mère : la Terre.
L’urgence est dans le passage à l’acte concret.
Au cœur de notre mission : trouver des solutions pour enrayer la perte de la biodiversité.
La nature est un patrimoine, un « commun », au sein duquel l’enjeu est celui de la libre évolution de la vie, sa régénérescence et sa pérennité.
Pour l’avenir de la communauté de toutes les espèces vivantes, l’Homme doit retrouver un dialogue avec la nature : c’est le moment de l’intelligence collective.
Notre devoir moral est de recréer la « valeur » nature, maintenir le monde naturel plutôt que de l’exploiter, conserver les ressources mais aussi les liens au sein même de celui-ci.
Nous devons penser en termes de capacité à nourrir plutôt qu’en soutenabilité.
« Faire écosystème », fédérer, réconcilier, s’unir, et repenser ensemble notre agriculture afin de rétablir un système nourricier respectueux, basé sur la production de calories, protéines et nutriments végétaux, passant entre autres par la réduction de l’utilisation de l’énergie, des transports et des ressources.
Toutes ces problématiques sont liées, nos actions doivent donc être pensées en amont et de manière transversale afin de minimiser nos impacts.
Nos armes de construction massive : la pensée critique, l’ouverture d’esprit, l’optimisme, l’expérimentation et la créativité au sein d’un processus de réflexion continue.
Nous pensons qu’agir localement, à partir d’un lieu, d’un territoire, est l’échelle qui permettra une dynamique et l’implication des communautés qui l’entoure.
Nous sommes persuadés du lien entre les sujets locaux et les enjeux globaux. Chaque territoire possède une histoire, des besoins, des contraintes, des opportunités, à prendre en compte de manière singulière.
Il n’y pas de solution « toute faite », à l’instar du milieu naturel en constante évolution au fil du temps, notre stratégie passe en premier lieu par nos sens : celui de l’observation, de l’écoute avant de passer à l’action réfléchie et adaptée.
Sauvegarder et régénérer le vivant c’est s’inscrire dans la longue durée, anticiper notre rôle d’acteur afin de diminuer l’exposition aux aléas, réduire les vulnérabilités, augmenter nos capacités d’adaptation et de résilience, notre rapport au temps est donc crucial.
Il est essentiel pour nous de « faire » pour apprendre et « faire savoir » pour comprendre, c’est pourquoi nous déploierons différents canaux et modes de communication afin de partager nos expériences et celles que nous soutiendrons.
Devenir à la fois source et relai de projets « systémiques », c’est aussi tisser naturellement un réseau à l’œuvre dans l’intérêt du vivant, essaimer les pratiques et les différents modes de pensée permettant ainsi la collaboration et l’épanouissement des individus au service du bien commun.
L’éducation aux enjeux de la biodiversité, des différentes espèces, du climat, des ressources et de l’alimentation permettra d’éclairer, sensibiliser et mobiliser nos interlocuteurs.
« Il est temps pour les entrepreneurs et chefs d’entreprises de prendre en main les sujets liés à la sauvegarde du Vivant. De comprendre que la création de produits ou de services a un impact direct sur l’ensemble des espèces : animales, végétales, minérales, et sur les Hommes. Mais aussi d’embrasser l’intérêt général au sein même de leurs activités économiques. D’unir plutôt que d’opposer, le monde de l’entreprise à celui du bien commun. Soutenir, financer et accompagner les projets à l’œuvre de la sauvegarde et la régénérescence du vivant est le « super profit » des décennies à venir ! Chacun d’entre vous peut décider « d’investir l’avenir » en se mobilisant auprès des fonds existants ou en créant son propre fonds de dotation actionnaire. Ce modèle vertueux aujourd’hui peu connu en France est pourtant celui qui permet de conjuguer de manière collective et impactante, l’action économique et l’action solidaire, qu’elle soit sociale ou environnementale, sur le très long terme. Je souhaite que le « Fonds DEMAIN SUR TERRE » devienne un projet exemplaire, duplicable, ouvrant la voie à d’autres entrepreneurs. Essaimer la création de ce modèle vertueux, agrandir le réseau des fonds de dotation signifie par voie de conséquence directe, un juste retour à l’équilibre vital au sein de notre société. »
Rodolphe Landemaine,
président du
« Fonds DEMAIN SUR TERRE »
Prendre soin du vivant dans son ensemble. Prendre conscience du patrimoine naturel, ce « commun », au sein duquel l’Homme doit retrouver un dialogue pour l’avenir de la communauté de toutes les espèces vivantes.
Encourager des projets et actions ayant une vision et un impact sur le long terme pour l’Homme et son environnement naturel. Soutenir sous différentes formes. Notre devoir moral est de recréer la « valeur » nature, de « faire écosystème », fédérer, unir nos initiatives.
Favoriser les démarches de recherches, expérimentations et d’observation avec et pour le vivant dans le but de l’intérêt général. Garantir l’indépendance et l’intégrité de ses actions, de ses choix, et de ses productions.
Éduquer aux enjeux de la biodiversité, des différentes espèces, du climat, des ressources et de l’alimentation permettra d’éclairer, sensibiliser et mobiliser nos interlocuteurs. Partager les résultats des projets développés et soutenus par le fonds, sensibiliser, essaimer.
Prendre soin du vivant dans son ensemble. Prendre conscience du patrimoine naturel, ce « commun », au sein duquel l’Homme doit retrouver un dialogue pour l’avenir de la communauté de toutes les espèces vivantes.
Encourager des projets et actions ayant une vision et un impact sur le long terme pour l’Homme et son environnement naturel. Soutenir sous différentes formes. Notre devoir moral est de recréer la « valeur » nature, de « faire écosystème », fédérer, unir nos initiatives.
Favoriser les démarches de recherches, expérimentations et d’observation avec et pour le vivant dans le but de l’intérêt général. Garantir l’indépendance et l’intégrité de ses actions, de ses choix, et de ses productions.
Éduquer aux enjeux de la biodiversité, des différentes espèces, du climat, des ressources et de l’alimentation permettra d’éclairer, sensibiliser et mobiliser nos interlocuteurs. Partager les résultats des projets développés et soutenus par le fonds, sensibiliser, essaimer.